Ces dernières années, l’Institut français a développé davantage d’actions en faveur des artistes et des professionnels de la Caraïbe. Que cela soit avec un accompagnement plus étroit des artistes dans leur déploiement à l’international avec d’autres partenaires nationaux, avec la mise en place en 2020 d’« un fonds de mobilité Caraïbes » en lien avec les directions des affaires culturelles de Guyane, Guadeloupe et Martinique ou alors sur des projets régionaux structurants portés par le réseau culturel.

Ces territoires apparaissent comme des espaces privilégiés de coopération régionale que nous devons encore encourager.

Il s’agit de mettre en lumière les territoires de la caraïbe, d’évoquer et partager des initiatives actuelles intéressantes qui peuvent se modéliser, d’accentuer les zones de coopération régionales à la fois autour d’enjeux artistiques, sur la francophonie et le plurilinguisme grâce à la culture mais aussi sur la question de la valorisation des cultures locales comme celles portées par les peuples autochtones.

La crise sanitaire a progressivement mis à l’arrêt l’ensemble des projets de coopération et de mobilité se déroulant à l'échelle mondiale. Devant cette situation inédite, chacun a cherché des solutions pour les maintenir ou les transformer, notamment via les outils numériques.

De ces expérimentations sur le vif et de cette pause forcée, que pouvons-nous finalement retenir ? Quand la circulation des personnes et la diffusion des œuvres seront de nouveau possibles, qu’aurons-nous envie de garder de ces expériences, qui, testées sous la contrainte, peuvent s’avérer stimulantes et vertueuses ?

Cette parenthèse a permis de prendre acte d’un certain nombre de dysfonctionnements, tels que la négligence de l’impact écologique des projets, la disproportion entre l’offre et la demande artistique, ou la nécessité d’aller encore plus loin pour toucher davantage de publics.

Conçu comme un atelier réflexion+action autour de trois thématiques (l'impact écologique ; l’adresse aux publics ; l’hybridation des formats du présentiel au distanciel), cette rencontre participative associera des professionnels français ou européens mobilisés par ces enjeux, et, des collègues du réseau qui pourront faire état des réponses qui s’inventent, dans la diversité des contextes du monde.

Ces dernières années, l’Institut français a développé davantage d’actions en faveur des artistes et des professionnels de l’Océan Indien et des pistes de développement en Polynésie. Que cela soit avec un accompagnement plus étroit des artistes dans leur déploiement à l’international avec d’autres partenaires nationaux, avec les pistes de développement d’un fonds Indianocéanique en lien avec les directions des affaires culturelles de la Réunion et de Mayotte ou alors sur des projets régionaux structurants portés par le réseau culturel.

Ces territoires apparaissent comme des espaces privilégiés de coopération régionale que nous devons encore encourager.

Il s’agit de mettre en lumière les territoires océaniques et pacifique, d’évoquer et partager des initiatives actuelles qui peuvent se modéliser, d’accentuer les zones de coopération régionales à la fois autour d’enjeux artistiques, de formation, autour de la francophonie et le plurilinguisme et sur la question de la valorisation des cultures locales comme celles portées par les peuples autochtones